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Paola Afonso

Présentation de Cantigas d’Amor, un livre entièrement conçu à la main, illustré par des linogravures et des ajouts de techniques multiples (collages, encre de chine, dessin).

 

En 2010, j’ai commencé à rédiger un livre qui réunissait des chansons de mon village d’origine au Portugal (Vinhais, Tras-os-Montes). Des chansons chantées par tous, à n’importe quelle heure du jour et tout au long de l’année. Mais, l’immigration a fait qu’on ne m’a pas transmis la culture orale dans laquelle mes parents ont grandi. Certaines personnes restées dans mon village m’ont fait découvrir combien la poésie et le chant faisaient le quotidien de mes ancêtres. Ils s’inspiraient et vivaient au rythme des mots. 

 

A partir de seize chansons d’amour populaires, j’ai imaginé une histoire. Un livre a commencé à prendre forme. D’abord, un livre leporello (livre accordéon) uniquement illustré par des linogravures colorées inspirées de souvenirs, de paysages et de formes venues de la grande variété graphique des azulejos. Puis, un autre entièrement écrit à la main, contenant les textes des chansons en langue originale, leur traduction, ainsi que les partitions musicales.

Claire Archenault

44 années de passion  pour le non-dit,  61 ans de vie. Dessiner est toujours un témoignage, qui s’avère parfois impératif, pour exprimer le manque de verbalisation : j’ai fait ainsi.

Aujourd’hui,  mordre des plaques de zinc et de cuivre. Avant-hier, hier et aujourd’hui,  lithographies  sur pierre. Avant-hier, copiste au Musée du Louvre, et spécialiste des techniques anciennes. D’autres histoires de vie, à raconter…  

Je fabrique des carnets au «fil des jours», qui retracent mes vagabondages et lieux de vie, où j’explore la spontanéité de l’aquarelle sur le motif.

Ce sont toutes mes  pirouettes  pour communiquer  avec les non-dits…  et partager la poésie de nos luttes…

cl.archenault@sfr.fr

clairearchenault.blogspot.fr

Lika Kato

Née à Kobe au Japon et Vivant à Paris depuis 1990.

Diplômée de l’ Université de Kyoto Seika en spécialisation design visuel.

Travaille chez Procédés Chénel depuis 2013 pour Les projets des designs artistiques et professeur d’art plastique pour handicapés.

 

Elle a participé à des associations artistiques : les Portes Ouvertes des Ateliers d’Artiste de Belleville,  les Portes Ouvertes des Artistes de Ménilmontant, les Artistes de la Bastille et du Génie de la Bastille, ainsi qu’à de nombreuses expositions et des échanges artistiques à l’étranger.

 

Elle fait de la peinture fantastique, figurative et de l’illustration avec un mélange de techniques, au croisement de différents matériaux et de l’animation.

Matériel utilisé : gouache, acrylique, huile, tempéra. Les installations sont  des performances faites d’objets illuminés.

likatof@gmail.com

likato.wix.com/travail

Michèle Rizet

michelerizet@apparat.fr

Atelier Rizet-Delouis, 

24 place sainte Marthe 75010 Paris

Présentations de peintures, grand format, inspirées des Açores.

 

Les Açores volcaniques, l’hiver, où mijote une végétation semi tropicale, le ciel la mer couleur de plomb, le noir des plages, la force rebelle de la lave battue par le vent et la mer s’est figée en noir pour toujours.  

De retour à Paris, je me lance dans des compositions qui expriment la profondeur et la force du volcan, parlent de l’aspect graphique et sensuel du noir coloré : peintures et impressions numériques d’après mes pastels et aquarelles.

Luna Vaz

Luna danse depuis l’enfance. Des danses traditionnelles du nord du Portugal à la danse contemporaine, en passant par les danses Hip-Hop, elle fomente une danse sans frontière. Mais en 2004, un accident met un terme à sa carrière professionnelle. 

Depuis, elle réinvestit son corps dans le champ des arts visuels, où il est question d’héritages et de prégnance des mémoires dans un corps féminin. 

Grâce à une dynamique d’exploration triangulaire- à la fois chercheuse, sujet et objet de sa recherche – elle élabore une esthétique de l’extime. Un corps tronc, aux jambes invisibles et pourtant debout. Une mise en boîte  sans visage, aux contours fondus dans le décor. 

Une corporéité ultra-plastique sans cesse réinterprétée dans une obstination résiliente. Là où s’enchevêtrent la chair, le trouble, les couleurs et les mots, Luna Vaz tente d’insuffler à son art profane une dimension sacrée.

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